Passagers clandestins
Sortie à 3 en soirée, avec un passager clandestin sur Sirocco.
Monter sur Sirocco, ce n'est pas une mince affaire pour le commun des mortels.
On ne décide pas de monter sur Sirocco : il a envie de vous porter ou il n'en a pas envie.
C'est comme ça !
L'un après l'autre : Malyka (Sophie), El Qahirah (Rachel) et Sirocco (Philippos)
Philippos, pas super détendu, mais dessus !
De gauche à droite : Sirocco, El Qa et Malyka.
Sur mon visage : la frustration de ne faire que du pas...
De gauche à droite : Malyka, El Qa et Sirocco.
Sirocco a pour Philippos la reconnaissance des jours où l'homme à la moto le nourrissait. Et sans doute une certaine reconnaissance pour qui ne cesse de le flatter (à juste titre).
Sirocco a aussi une certaine tolérance envers qui lui fait confiance, qui ne lui dicte pas, plus ou moins maladroitement, ce qu'il doit faire. Parce qu'il sait mieux que vous ce qu'il doit faire.
Et là, sans prétention aucune, mais avec beaucoup de fierté, je vais vous le dire : Sirocco n'accepte des ordres que de moi. Que de moi. Que de moi. La la la.
Le cheval arabe n'a qu'un cavalier, dit-on. Et sa cavalière : c'est moi !
Même si de temps en temps, il accepte aussi qu'un minipousse se joigne à nous...
Sirocco, Angel et moi, le 7 juillet. Prêts pour notre premier galop à 3 !