Purple Zaz
Après Sirocco, El Qa et Hémy, ce midi, c'était au tour de Zarda de faire sa petite sortie en forêt. Nous partons donc à pieds, Jérôme, Kira, Zarda et moi.
La jolie poupée nous gâte avec de jolies poses, et ses petites oreilles mobiles se prêtent bien au jeu.
Que les puristes se rassurent quant à la position de la selle Gaston Mercier sur cette photo (trop en avant) : Zarda n'a pas de garrot, elle a un gros bide donc forcément, ça fuit en avant. D'autant plus, rappelons-le, que cette selle n'est pas la sienne mais celle de la vénérée petite Ulla (sur qui je devais vraisemblablement savoir la placer étant donné les distances accomplies avec cet équipement).
A mi-parcours, j'enfourche la belle, et me souviens in extremis que mon casque pendouille au pommeau de ma Gaston Mercier. Zarda a tout compris et attend gentiment que j'attache ma jugulaire avant de prendre le pas à ma demande vocale.
Du pas ou du trot, Zarda s'arrête net dès que je le lui demande, de préférence sur un fond plaisant !
Les mouche-plates sont énervantes, surtout quand on a 3 ans et la peau sensible... Zarda s'ébroue et me secoue la cervelle...
Lors de notre parcours, je me suis souvenue avoir promis à une joyeuse bande de jeunes filles que je tenterai la fameuse posture de la COQUILLE. Voilà, Mesdemoiselles, mon premier essai avec Zarda (que cela n'a pas semblé perturber). Je suis bien entendu, dans l'attente de vos critiques qui me permettront de progresser...
Pour conclure plus sérieusement, je me réjouis du lien qui se crée entre Zarda et moi, indéniablement, elle a palpé mon état d'esprit. Les ordres à la voix sont complètement assimilés depuis un bon moment déjà, les demandes sont anticipées car elle perçoit les variations du poids de mon corps. Nous poursuivons le travail en mode "rênes invisibles".
Mais encore... J'envisage un essai side-pull d'une manière transitive en fabriquant une bride soft : 2 paires de rênes, 1 mors de filet. Je me réjouis de ma propre idée en attendant de pouvoir la tester... Ceci fera l'objet d'un post, vous l'aviez compris...